harry potter et les reliques de la mort partie 2

Harry Potter et les Reliques de la Mort Partie 2, c'est un film avec de la SUEUR, des LARMES et du SANG, et là vous aurez droit à une courte critique avec des mots ecrits en MAJUSCULE sans raison particulière.

Dix ans, huit longs métrages à la qualité très variable, du très médiocre au franchement sympa, des millions de spectateurs, des milliards de dollars, des heures passées à mater des anglais, un ROUX comme sidekick, la famille de ROUX du sidekick, la saga cinématographique Harry Potter, c'est tout ça et bien plus encore, car je n'ai pas vérifié ces informations et j'ai la flemme de trouver les chiffres exacts. Pour tout vous avouer, j'ai tout inventé, mais bon, ça reste assez évasif pour que ça paraisse vrai. Bien joué!

Alors, qu'en est-il de cette conclusion à la saga?

Eh bien c'était pas mal. Après une première partie en demie teinte, cette suite se révèle bien plus passionnante, pour la simple raison qu'il n'y a que de l'action. Ca ne s'arrête pas un seul instant, du début à la fin, du coup on oublie de s'ennuyer, comme c'était le cas pour l'épisode précédent.

Alors après, tout n'est pas parfait : certaines scènes ne sont pas très compréhensibles, la faute à une mise en scène parfois maladroite, et la 3D n'apporte rien (comme d'habitude), à part des moments un peu foireux et moches.

Mais j'ai apprécié la violence - toute relative - de certaines séquences (on voit des gens MOURIR), qui tranche avec l'aspect très édulcoré des précédents opus ; on a plus de peine pour les personnages tombés au combat, là où dans le roman on apprenait sans plus de formalité que Bidule était mort et puis basta. Dans le film, c'est presque épique par moments, ça part dans tous les sens.

Certains passages m'ont fait sourire, au début notamment, quand Hermione est déguisée en Helena Bonham Carter, accompagnée par Ron, qui est déguisé en Tim Burton, tout moche, avec son bouc de merde et ses cheveux gras vaguement frisés.

On retrouve les mêmes défauts que dans le roman, à savoir une aventure trop focalisée sur Harry Potter, alors qu'on a envie de voir ses petits camarades, et; bien sûr, la même fin abrupte suivie du même épilogue qui ne sert à rien (à part voir que même adulte, Ron reste moche).

Donc une façon pas dégueu de cloturer la saga, et un petit pincement malgré tout, en attendant de retrouver un petit plaisir coupable cinématographique équivalent.

Comments

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Je suis vraiment fière de vous découvrir, votre blog est vraiment super ! J’aime bien son interface, et j’ai trop adoré le contenu aussi. Surtout continuez ainsi !

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Merci pour ces bons moments sur votre blog. Je suis souvent au poste pour regarder (encore et toujours) ces merveilleux articles que vous partagé. Vraiment très intéressant. Bonne continuation à vous !

[Nico]

Des bds en VO à la fnak ? Jamais vu ça. (oui, j'achète mes comics et mes livres en anglais sur Amazon, et non je n'ai pas honte)


 


Je me demande si à l'IUT que je vais faire à partir de septembre ils vont me faire signer un contrat pour ne JAMAIS plus utiliser Amazon.

[Kolia]

Bah moi aussi j'achète mes bd et livres en vo sur amazon.


 


Tu fais quoi comme IUT? Tu fais encore des études?

[Nico]

The Unwritten je pense que les 2 premiers volumes sont sorties en vf.  Je ne me rends pas compte de ce que ça donne en français mais je suppose que c'est aussi intéressant. Ca doit se
trouver chez Album je suppose.

[Kolia]

Si ça se trouve chez Album, ça se commande chez moi. Je verrai.

[Hush]

Tu es assez indulgent: j'ai déjà zappé ce film, certes moins chiant que le première partie, mais malgré le caractère très pros de tous les artistes qui ont bossé sur le film ( déco, SFX,
maquillages) la réal et l'enchainement des séquences sont d'une platitude telle que je trouve l'intérêt général très médiocre. Les livres étaient plus captivants, mais retranscrire littéralement
les enjeux ne passe pas forcément d'un médium à un autre: je n'ai ressenti aucune "pression" quant à la quête des horcruxes, et ce que j'ai retenu en émotion du bouquin n'est pas passé dans le
film: à savoir l'histoire tragique de Rogue, qui n' a cessé de refouler toute sa vie ses sentiments. Les flash backs sur son enfance et ses derniers mots auraient pu déboucher sur quelque chose
qui nous touche droit au coeur. C'était la grande révélation du livre; et le film passe complètement à côté.  Rickman semble complètement délaissé /mal dirigé, un comble pour un réal de
téléfilms. De toute façon dépassé par la logistique du projet.

[Kolia]

Je suis très indulgent, en effet. Mais dans la mesure où je ne me suis pas ennuyé, ça m'allait.