death note
Histoire de gonfler un peu mes statitstiques en employant des mots facilement identifiables par les moteurs de recherche et satisfaire les prépubères qui me lisent (oui Thomas, c'est à toi que je pense), je vais vous parler du dernier manga qui cartonne et que, pour une raison ou une autre, j'ai acheté et même lu.
Je l'ai payé avec de l'argent que je n'ai pas, je l'ai ouvert, et je l'ai lu, de la droite vers la gauche, parce que les japonais sont une bande de primates sous-développés qui ne sont pas foutu d'écrire comme tout le monde à cause de leurs yeux bridés.
Mais des primates doués pour le dessin et raconter des histoires, on ne peux pas leur enlever ça.
Donc sur les conseils d'une ancienne collègue (que j'écoute les yeux fermés) (oui, c'est un nouveau truc que je tente) (tu devrais essayer), je me suis pris le manga Death Note. Bien que je n'étais pas du tout sûr des inclinaisons de cette demoiselle en ce qui concerne les mangas (ah! la pauvresse n'a pas aimé Yakitate Ja-Pan), elle m'a certifié que c'était une autre personne au goût sûr qui le lui avait conseillé.
Et bien il s'avère que je n'ai pas regretté cet achat.
Complètement à contre-courant de ce qui peut se faire actuellement chez les gros éditeurs, l'histoire raconte comment un death note, oublié par un dieu de la mort au look de rockeur des années 80, est tombé entre les mains d'un lycéen particulièrement intelligent et comment ce cahier le corrompt petit à petit. Un death note étant un petit carnet dans lequel on marque le nom d'une personne en pensant à elle pour qu'elle meure.
Je l'ai prêté à l'un de mes frères qui l'a dévoré et qui s'est immédiatement précipité sur le net où il a pu lire une bonne partie de la suite, et il m'a avoué que ça devenait bizarre assez rapidement.
Quand je lui ai demandé en quoi ça devenait bizarre, il m'a juste dit "ben bizarre quoi."
Merci donc à lui pour ces explications.
Néanmoins, en cherchant un scan de la couverture de premier numéro histoire d'illustrer cet article fort peu intéressant, je crains être tombé sur des images qui m'ont un peu étonné : on y voit le protagoniste à deux doigts de se faire prendre les fesses par un autre mec.
Vivement la suite!
Non parce que pour une fois qu'un manga bien cartonne, il fallait le souligner (c'est pas comme Naruto, cette merde sans imagination et dessinée à l'arrache) (cette critique ne concernait que la version papier du manga).